La réponse à cette question peut être scindée selon deux angles, l’un pragmatique et l’autre relatif à l’usage.
Il s’agit déjà de se poser la question des incidents ou des accidents qui peuvent empêcher l’infrastructure informatique de fonctionner correctement. La réalisation d’une bonne restauration est l’étape suivante.
Autrement dit, il s’agit d’imaginer les problèmes pouvant se poser, des plus mineurs au scénario catastrophe. À cet effet, l’identification de la chaine complète des taches à réaliser pour restituer les données chez le client devient une garantie de restauration. La maîtrise de la chaine complète du système d’information permet de garantir cette restauration en bénéficiant de la puissance du Cloud Computing. La maîtrise de la chaîne consiste à savoir ce qu’il faut faire en cas de sinistre.
Du côté du client, il est important d’alerter sur les arrêts de production que peuvent entraîner la perte des données.
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Par exemple, si un serveur tombe en panne, il faut commander un nouveau serveur, attendre sa livraison, restituer le système et restaurer les données… c’est 96 heures écoulées. Et inutile de dire que l’on ne restaure pas des données sur un serveur vierge !
À l’heure de l’entreprise numérique et de la communication digitale, rares sont les sociétés qui peuvent se permettre une telle latence. D’où le nécessaire pragmatisme qui implique une assistance informatique en amont des problèmes.
Au niveau de l’usage, c’est s’assurer au quotidien que le processus de sauvegarde fonctionne correctement.
